Top ca fait du bien d’entendre parler foot .
Au top @roycod ! D’ailleurs je vous conseille tous ses podcasts « Prolongation ». Fut un temps il y avait aussi les très bon « Calcio & Pepe » mais je pense qu’il doit être un peu sous l’eau… 
Mais continue Johann, trop bien !
En cette fin d’année et vu le chemin parcouru ! Un grand merci aux dirigeants qui ont chacun leur part dans résultats récoltés. Belle année pour Milan. Un cycle est en train de se dessiner avec de solides bases cette fois ci.
En premier Paolo ! Parceque c’est Paolo tout simplement et il avait raison depuis 10 ans sur chacune de ses sorties médiatiques. Il a su répondre présent quand il a enfin eu les clés en main.
Massada et Moncada pour leur jobs respectifs mais aussi ceux qui travaillent dans l’ombre.
Puis enfin, Gazidis ! Il a fait preuve de beaucoup d’humilité en changeant d’avis et en laissant les règnes à Pioli mais surtout pour sa capacité à être à l’écoute. Dommage qu’il a mis du temps à comprendre qu’ici c’était pas Arsenal mais il l’a enfin compris.
Quel plaisir de voir le club faire remonter la pente petit à petit et d’avoir enfin un milieu saint ou les jeunes talents acceptent de venir afin d’exploser pour ne citer que Théo et Isma !
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Je remarque que le nombre de messages likés ce soir ont explosé. Tout le monde est content de la situation du club pour la première fois depuis des années.
Il faut saluer le travail des dirigeants. Des recrues bien ciblées, des conditions de travail idéales, de la cohésion, de l’ambition et du coup des résultats finalement logiques.
Cette année 2020 à été bien pourrie sous de nombreux rapports. Mais voir ce Milan jouer m’a permis de garder le sourir.
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Totalement. Maintenant, on demande à l’équipe dirigeante de nous permettre de continuer de faire perdurer notre forme éblouissante. Il faut compléter l’équipe en profondeur. Pas de grandes manœuvres mais quelques coups bien senties qui s’imbriqueront parfaitement à l’effectif.
Je leur fais toute confiance !
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Quelle année 2020 incroyable du côte du Milan tout de même.
Et enfin des joueurs (très) bons et charismatiques, qui ont la hargne sur le terrain et qu’on a envie d’idolâtrer, de supporter, de pousser.
Bravo à toute l’équipe dirigeante, Pioli et Ibra qui ont su donner un souffle nouveau à ce Milan. Je ne retombe pas de mon petit nuage ce matin. On a fait des bons résultats contre toutes les équipes du top. Depuis combien d’années ce n’était pas arrivé ? Et en plus avec des scénarios incroyables dans lesquels l’équipe ne lâche jamais rien.
Non vraiment, fier d’être supporter Milanais depuis un moment, et hier était la plus belle des conclusions pour l’année 2020 (et encore plus avec les nombreuses vidéos qui défilent sur les réseaux, la Curva a fait un travail monstrueux).
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Sur l’année civile 2020, on doit mettre une raclée a tout le monde non en terme de points ?
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On se classe 3e à l’échelle européenne dans ce domaine. On a joué 35 matchs pour 79 points pris. Seul le Real avec autant de match fait mieux avec 82. Le Bayern est encore un niveau au dessus avec autant de point que nous mais avec uniquement 30 matchs de joués.
(Tuttosport)
D’ailleurs pour la petite histoire au moment de faire la stats Liverpool se trouvait juste derrière avec 36 points en 34 matchs donc pouvait faire aussi bien que nous avant leur premier match du Boxing Day mais ils n’ont fait que match nul face à West Brom.
Sinon les chiffres des masses salariales des 20 clubs de Serie A ont été publiés dans le CorSport, je pense que vu que les données sont classées par ordre décroissant ils ont confondu la notre et celle du Napoli. Je n’ai plus en tête les chiffres des 2 dernières années mais la différence doit être abyssale d’autant plus que la diminution de celle ci n’a pas eu d’impact négatif sur le niveau ni sur le recrutement du club, bien au contraire. L’excellent travail d’Elliott et de Maldini est à mettre en avant.
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Les parcours de Milan, Atalanta, Sassuolo, Benevento et Verona prouvent qu’un bon classement se joue par une politique sportive cohérente, des idées de jeu mises en place et une véritable cohésion de jeu sur le terrain en prônant un jeu ambitieux, pas forcément en fonction de la masse salariale et des dépenses en transfert.
D’ailleurs, à leur manière, le Torino et la Fiorentina sont de bons exemples confirmant cela 
Au passage, je confirme qu’il n’y a aucune erreur, notre masse salariale brut est bien de 90 millions contre 105 pour le Napoli.
Beau travail de Gazidis, Maldini, Moncada et Pioli qui nous permettent de réaliser notre meilleure saison de la décennie avec les charges les plus basses qu’on a jamais réalisées. Comme quoi quand une direction adopte le principe Nietzschéen: une idée, une ligne droite; tout change positivement.
Galliani était sans cesse excusé parce qu’il manquait soi-disant de moyen alors qu’il dépensait autant que la Juve; Fassone et Mirabelli étaient loués parce qu’il fallait beaucoup dépenser soi-disant pour rattraper l’ère Galliani, etc…
Ici, nous avons surtout la preuve que toutes ces ex-directions n’ont pas échoué par manque de moyens mais par manque d’idées et par inadaptabilité à leur environnement.
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Oui d’accord mais tous les clubs qui veulent s’installer durablement en LDC qui ont a minima comme priorité le dernier carré ne peuvent pas garder des masses salariales comme l’Atalanta continuellement. Il leur faudra faire des investissements pour performer chaque saison.
En tous cas L’histoire serai belle si l’Atalanta arriverait a prouver le contraire durablement et que ce n’était pas seulement un one shot.
Je n’ai jamais réfuté l’importance d’investir, juste le fait que le succès ne s’achète pas et qu’il ne trouve ses fondations que dans les idées et une politique sportive cohérente essentiellement.
A force de croire que l’argent est LA constituante du succès et non un moyen parmi d’autres au service d’une idée, on aboutit au krach du Milan mode Galliani quand l’argent n’afflue plus suffisamment ou aux échecs réguliers du PSG sur le scène européenne.
Ici, nous avons un exemple concret du fait que le succès n’est pas directement lié à l’argent, ce qui est la preuve que d’autres facteurs plus importants encore entrent aussi en jeu.
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En général quand tu regardes le classement des équipes de leurs championnat chaque année 9 fois sur 10 si tu fais le classement des budgets ca correspond .
Néanmoins tu as raison sur les idées politiques sportives.
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Les 2 sont aussi important l’un que l’autre.
Je dirai quand meme qu’a un certain niveau dans le foot pro, l’argent reste la porte d’entrée pour le reste de ta ligne directrice et le style de développement que tu veux mettre en place. Si tu es entouré de mauvaises personnes dans la direction, oui ca n’aide pas et ca ralenti ta courbe de progression. Comme dans tout d’ailleurs.
9 fois sur 10?
Je n’ai pas pris soin de vérifier ton affirmation, faute de temps, et pourtant, les exemples infirmant le fait que les classements sportifs sont identiques aux dépenses des clubs quelles que soient leurs politiques sportives sont très nombreux à première vue.
La PL: le fait que Tottenham arrive régulièrement a se qualifier dans le Big 4 depuis 5 ans au détriment de Man U. et/ou Arsenal avec un moindre budget et de moindre dépenses est un exemple évident. J’omets volontairement l’exception du Leicester de Ranieri et le fait que si les comptes en banque faisaient le classement, City serait inatteignable.
Les bides réguliers du Man U post-Fergusson démontrent combien des dépenses abyssales ne font en aucun cas le succès (ironie du sort, l’ère Fergusson était gagnante tout en étant très largement moins dépensière).
La Liga: l’Atletico n’a jamais eu le budget suffisant pour devancer le Barça et le Real, pourtant ils ont gagné la Liga avec moitié moins de dépenses.
L’écroulement du Barça cette année ne fait que prouver que même le club le plus riche du monde peut se ridiculiser sportivement dès lors que les idées sont absentes.
La Ligue 1: le PSG a beau avoir le double de budget de tous ses concurrents, il n’en a pas moins perdu des championnats contre Montpellier et Monaco lorsqu’ils ont fait preuve de bonnes politiques sportives en one shot.
L’échec du club parisien cette année dans ce médiocre championnat est un bel exemple que l’argent ne compense pas des politiques sportives désastreuses.
En outre, le LOSC qui finissait 2nd il y a 2 ans ne suivait aucune logique relative au classement des dépenses (ils étaient justement au plus mal financièrement).
En Buli: il y a 2 ans, le Bayern moribond de Kovac passait tout proche de voir le titre revenir au large outsider qu’est Dortmund tant la politique sportive bavaroise était un échec sur cette période.
Depuis, Leipzig devient le n2 récurrent du championnat alors qu’ils sont loin de ce classement sur le plan budgétaire. Dortmund qui est pourtant le dauphin du Bayern financièrement peine à se qualifier en C1 suite à des saisons faites de choix hasardeux sur le plan sportif.
Enfin la Serie A: hormis pour leurs 1ers titres où nous dominions encore le classement des dépenses avec l’Inter, la Juve confirme en gagnant par la domination financière. Toutefois, cette année, suite à 3 saisons de politiques sportives hasardeuses, le retour de bâton se fait sentir incontestablement.
Ensuite, les contres exemples restent nombreux puisque si on en suivait le classement des dépenses, chaque année, le big four de la dernière décennie devait se constituer des équipes suivantes: Milan AC, Inter, Juve et Roma.
Pourtant, des équipes comme: Napoli, Lazio, Fiorentina et Atalanta ont régulièrement chamboulé cette hiérarchie avec des dépenses moindre, des projets plus structurés et des résultats sportifs supérieurs.
Terminons par la C1: le PSG et City ont tout fait pour s’acheter le succès mais se sont régulièrement fait dépasser dans la durée/constance par des équipes comme: la Juve, l’Atletico et Liverpool alors moins nantis.
Voila, autant d’exemple confirmant que l’argent n’est qu’un outil (certes important, évitez de me faire dire ce que je ne dis pas) du succès mais pas La clé. Heureusement que les choses sont plus subtiles que cela et que la vérité du terrain garde une vraie place.
P.S: désolé pour le côté brouillon du message, je suis sur le tel et ce n’est pas évident de bien développer.
P.S2: @nythonA
Quand tu accepteras de lire dans mon argumentaire que je ne nie pas les besoins d’argent dans le foot mais simplement le fait que ce n’est pas l’unique élément du succès comme vous tentez de me le prouver avec @djo, on aura fait une avancée grandiose 
Les exemples sont assez nombreux rien que ci-dessus pour comprendre que le succès s’acquiert par un tout gravitant autour d’une bonne qualité de travail et que l’argent est un outil de soutien à cela.
Tout ce que je fais de prouver, c’est que non, le succès ne s’achète pas de manière simpliste et qu’un classement est plus régi par la qualité de travail que le classement des plus beaux comptes en banque. Il y a ici suffisamment de contre-exemples pour mettre à mal la légende populaire et avoir droit à plus de nuances dans vos arguments.
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Je parlais de manière indépendamment du manager . C’est pas parce que City par exemples dépense plus sur un mercato qu’il forcé de terminer absolument premier , mais avec le budget investi il terminera au 4 premières place du classement .
Après il peu très y avoir des contres performances sur une saison mais bien souvent se sont les même qui termine en haut du classement .
C’est pour ca que la ou je suis totalement en accord avec toi c’est sur les :
La Gazzetta vient d’indiquer que Milan a été condamné à payer plus de 5 millions à Boban.
Incroyable… J’espère qu’il ne mettra plus jamais un pied au club, pour quel que soit le rôle.
S’il a gagné c’est qu’il avait raison.
Légalement oui.
Voici l’article.
Avant de tirer des conclusions hâtives, il faut savoir qu’effectivement le tribunal a condamné Milan à verser 5,37 millions à Boban qui considère que son licenciement, suite à son entretien à la Gazzetta dello Sport où il tirait publiquement à boulets rouges sur Gazidis et la direction du club dans son ensemble, était abusif.
Toutefois, le club a indiqué qu’il attendait de consulter les motifs qui ont menés le tribunal à cette décision pour faire appel de la décision afin de protéger l’intérêt du club qui est, selon eux, bafoué.
Le club a 2 semaines devant lui pour faire appel et nos dirigeants ont fait savoir que ce sera chose faite (Paul Singer étant ancien magistrat, il serait naïf de croire que l’affaire va s’arrêter là).
Pour rappel, Boban avait été licencié « pour juste cause » au niveau du motif en considérant que sa déclaration publique assez violente contre le club portait préjudice à l’institution.
On ne peut jamais présumer de rien en justice mais il y a de fortes chances que l’appel tourne en faveur du club tant ce qu’a fait Boban est une faute (dénigrer publiquement son employeur et lui porter préjudice ainsi, c’est difficilement défendable techniquement).
Reste à connaître les conclusions du tribunal pour voir si Boban n’a pas eu gain de cause sur un vice de forme dans le processus de licenciement car la conclusion est actuellement on ne peut plus surprenante.
En tout cas, dommage que l’histoire se finisse si mal après nous avoir tant fait rêver en tant que joueur et participer à la fondation de la reconstruction actuelle (il serait malhonnête de lui retirer sa part dans nos succès actuels et même dans le fait que Gazidis a su mettre de l’eau dans son vin pour ne plus entraver notre département sportif mais au contraire le rendre bien meilleur maintenant qu’il a su se remettre en question).
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